Claudie Gallay - Les Déferlantes
Rédigé par Laurent Navet le 13 août 2015
C'est à La Hague - un bout du monde à la pointe du Cotentin - que la narratrice est venue se réfugier. Elle arpente les landes, observe les oiseaux migrateurs... et Lambert, homme mystérieux et tourmenté aperçu un jour de tempête, et qui n'a cessé depuis lors d'éveiller sa curiosité.
Le poids de nos vies bercé par le chant des vagues, les déferlantes,
Son regard, mes silences, nos pas vers les falaises,
Ces oiseaux qui partent, ceux qui restent,
Leurs cris, leurs rancunes secrètes,
L'odeur du mensonge,
Un jouet volé,
Toi.
La plainte du vent,
Mes yeux dans la mer,
Une nuit, un phare qui s'éteint,
Son pouce sur le creux de ses lèvres,
La mer démontée, coeurs écorchés des Suppliantes,
Dans une petite boîte en bois, des lettres à l'encre bleue,
Une cigarette qu'on partage, lourds non-dits qui partent en fumée.
Le poids de nos vies bercé par le chant des vagues, les déferlantes,
Son regard, mes silences, nos pas vers les falaises,
Ces oiseaux qui partent, ceux qui restent,
Leurs cris, leurs rancunes secrètes,
L'odeur du mensonge,
Un jouet volé,
Toi.
La plainte du vent,
Mes yeux dans la mer,
Une nuit, un phare qui s'éteint,
Son pouce sur le creux de ses lèvres,
La mer démontée, coeurs écorchés des Suppliantes,
Dans une petite boîte en bois, des lettres à l'encre bleue,
Une cigarette qu'on partage, lourds non-dits qui partent en fumée.

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