Etienne davodeau - Chute de vélo
Rédigé par Laurent Navet le 16 octobre 2014
La mère de Jeanne, qui perd la tête, est hospitalisée en long séjour. La mise en vente prochaine de sa maison ne perturbe pas Irène, qui ne reconnaît même pas les siens. Les enfants, quant à eux, ont trouvé à travers les interstices d’un volet clos, l’occasion d’espionner les maçons de la maison d’en face. Le contremaître y passe ses journées à invectiver son arpette…
Puis c'est le drame : la vieille dame disparaît soudain. Toussaint, un vieil ami qui sait bien plus de choses que les autres ne le pensent, va proposer son aide.
Une BD assez paisible dans l’ensemble qui nous rappelle parfois notre quotidien ( vie à la campagne, jardinages, l’insouciance des enfants, blagues diverses,…) Les chutes de vélo sont une sorte de pathologie de famille. Les chutes bénignes de Jean, qui fait justement ses premiers tours de roues sans roulettes. La grosse gamelle de Simon en VTT, qui lui permet de redonner un sens à sa vie. Enfin celle du père de famille, grand absent de l’histoire, tué en vélo il y a des années. Les rapports humains sont décrits de manière si sincère, si réaliste, qu’on se demande si le récit n’est pas pour une large part autobiographique.
Puis c'est le drame : la vieille dame disparaît soudain. Toussaint, un vieil ami qui sait bien plus de choses que les autres ne le pensent, va proposer son aide.
Une BD assez paisible dans l’ensemble qui nous rappelle parfois notre quotidien ( vie à la campagne, jardinages, l’insouciance des enfants, blagues diverses,…) Les chutes de vélo sont une sorte de pathologie de famille. Les chutes bénignes de Jean, qui fait justement ses premiers tours de roues sans roulettes. La grosse gamelle de Simon en VTT, qui lui permet de redonner un sens à sa vie. Enfin celle du père de famille, grand absent de l’histoire, tué en vélo il y a des années. Les rapports humains sont décrits de manière si sincère, si réaliste, qu’on se demande si le récit n’est pas pour une large part autobiographique.
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